Dans Deathground, tu n’es pas un super-héros… juste une proie avec un plan bancal et un détecteur qui bippe trop souvent. Seul ou en équipe, tu pénètres des complexes abandonnés, dépôts gelés et zones de test où rôdent des prédateurs aux sens affûtés. L’objectif change selon les runs : récupérer des échantillons, réactiver une alimentation, ouvrir une salle sécurisée, survivre assez longtemps pour atteindre l’extraction. Ici, le bruit est ton pire ennemi : chaque porte qui grince, chaque pas trop pressé peut attirer un raptor curieux ou pire.

Tu devras fouiller, crafter de quoi distraire, coordonner des itinéraires et partager les rôles, l’un attire, l’autre contourne, le troisième déverrouille, tout en gardant un œil sur la batterie de ton matériel et les issues de secours. Les dinos n’obéissent pas à un script sage : ils patrouillent, pistent, apprennent. Pour profiter de l’éclairage nerveux, de la fumée froide, des couloirs claustros et des hurlements qui te font lever la souris, mise sur une machine fluide et stable. Parce que si tu veux sortir vivant, il va falloir courir… et prier pour que ce ne soit pas tes fps qui lâche en premier.