Dans Macabre, tu n’explores pas un donjon… tu t’enfonces dans le Rift, une dimension instable où chaque mission est générée procéduralement et où rien ne se passe deux fois pareil. Ton objectif est simple sur le papier : entrer, trouver ce qu’il faut, reconfigurer l’environnement si nécessaire, et t’extraire vivant. En pratique, tu vas apprendre à t’économiser, gérer ton souffle, ta lumière, et surtout tes bruits, car le Crawler rôde, écoute, observe… et s’adapte à vos habitudes. Plus tu le rencontres, plus il anticipe vos plans.

Tu peux partir en solo pour suer froid dans un silence religieux, ou en coop pour coordonner éclaireur, distracteur et porteur d’objectifs. Les niveaux évoluent pendant la mission : voies bloquées, zones « corrompues », routes de fuite qui se réécrivent. Chaque outil compte : détecter un signal, poser une diversion, verrouiller une porte, éteindre la lampe au bon moment. La panique n’est pas une mécanique officielle, mais tu vas vite la maîtriser.

Pour profiter des éclairages nerveux, de l’audio directionnel et des changements de décor sans à-coups, vise une machine fluide et stable : ici, le seul freeze acceptable, c’est celui du sang dans tes veines quand le Crawler chuchote juste derrière toi...